• Nom & Prénom: Miko Makoto
• Âge: 17 ans
• Sexe: femme
• Orientation Sexuelle: bisexuelle
• Votre Groupe: maîtresse odieuse

Miko Makoto
Votre âge: 14 ans
Où avez vous découvert le forum? On m'a donné le lien par MP sur Neko Folie
Qu'en pensez-vous? J'aime beaucoup les couleurs et c'est pile le genre de contexte que je recherche! :D
& toutes autres information(genre votre avatar c'est qui de quoi ? 8D):Murasa Minamitsu de Touhou
Quel est le code du règlement?Code validé par Etsuko

Miko est une jeune fille avec des proportions assez banales : des formes, mais pas trop, pas spécialement beaucoup de ventre sans être en sous poids pour autant, une taille moyenne... Elle aime bien son corps, sans pour autant l’adorer. Elle n’a que très peu de boutons et de grands yeux bleus-violets sur un visage couleur de lait. Elle a des traits fins et doux, lui donnant un air tendre. Son regard est tendre et pétillant, du moins, c’est l’effet qu’il fait à ceux qui la croisent. !ses cheveux, mi-longs, sont bleutés et parfois légèrement ondulés à partir des oreilles et jusqu’aux pointes.
Miko a toujours les mains ou les bras occupés, ils ne sont jamais simplement le long de son corps : on la voit souvent avec un libre, un éventail ou n’importe quoi d’assez petit pour qu’elle puisse le manier sans difficultés.
Elle a des mains de pianiste (très fines et allongées) et aime avoir les ongles longs. Elle ne porte jamais de vernis trop voyant (en fait elle en met surtout du transparent). Elle n’est pas du genre à s’encombrer de bijoux et d’autres accessoires, mais elle aime beaucoup les uniformes de tous genres (surtout les uniformes marins) et, en général, les tenues un peu excentriques.
Miko se maquille juste ce qu’il faut pour avoir l’air adorable et s’efforce de presque toujours sourire, ce qui fait fondre le cœur de la plupart des personnes qui la rencontrent.
Elle déteste mettre des vêtements à manches longues et est très sensible à la chaleur.
Elle marche toujours d’une manière la plus silencieuse possible, même si on ne sait pas vraiment d’où vient cette habitude. Il n’est pas rare qu’on la trouve attirante ou mignonne, mais elle plait surtout aux vieux pervers otakus (ce qui la déprime un peu, à vrai dire…)

Derrière ses airs de petite fille adorable, Miko se révèle être une vraie peste rancunière et sadique. Elle adore voir souffrir son entourage et manipuler ses amis et sa famille. Pour elle, mentir est un jeu comme un autre. A propos de jeux : elle déteste perdre, et si un jour on ose lui montrer explicitement qu’elle a perdu, elle en voudra à mort au vainqueur (littéralement). Elle cherche généralement les ennuis, c’est sa seule source de distraction et elle lui plait bien. Elle est très douée pour jouer la comédie et pour se mettre les gens dans la poche. Instinctivement, quand on la voit, on a envie de la protéger : elle est mignonne, gentille, parle bien et ne vous dit jamais rien de mal. Jusqu’au jour où vous osez la décevoir. A partir de ce moment-là, vous avez signé votre arrêt de mort, n’espérez atteindre aucune pitié de sa part, elle n’en a aucunement.
Elle n’aime pas non plus montrer ses points faibles et s’efforce d’exceller en toutes les matières, que ce soit à l’école ou en dehors. On a d’ailleurs souvent trouvé qu’elle était tout simplement surdouée ou parfaite. Parfaite… Elle déteste ce mot.
Il n’y a que très peu de choses qu’elle aime réellement, et elle n’a d’ailleurs jamais accordé sa confiance à quelqu’un (pas non plus à ses parents) et ne s’est jamais confiée à personne. Elle s’est habituée à régler ses problèmes toute seule depuis sa plus tendre enfance.

•Miko Makoto est l’unique héritière d’une famille japonaise très riche dont l’origine de la fortune est douteuse (on aurait entendu dire que les Makoto trempaient dans le trafic d’armes et de drogues…). Ses parents sont Eiji Makoto et Susan Addam. Eiji rencontra Susan lors d’un de ses séjours professionnels en Grande-Bretagne, plus exactement à Bradford. Dans le Cartwright Hall, une grande galerie d’art à la renommée internationale, ils se croisèrent pour la première fois. Dès que leurs regards se croisèrent, ce fut le coup de foudre : Eiji fit le premier pas en invitant la jeune irlandaise à dîner dans un des restaurants les plus luxueux de la ville. Ils passèrent une magnifique soirée et tout se déroula comme cela devait arriver : après avoir passé une nuit ensemble dans le Residence 6, un hôtel de luxe à Leeds, à 10 km de Bradford. A partir de ce moment-là, ils devinrent inséparables. La nuit même, Eji demande la jolie Susan en mariage. Celle-ci, euphorique, accepta immédiatement. Un an plus tard, lors d’un voyage aux Canaries, Susan accoucha d’une fille, Miko.

•Miko a reçu un enseignement privé à domicile des plus grands enseignants du Japon, ce qui ne lui permit pas de se faire beaucoup d’amis. Sa mère, trop protectrice et déstabilisée par le danger permanent que représentait l’implication dans le trafic d’armes, ne la laissait pas sortir dans le jardin sans accompagnement et ne l’autorisait à aller en ville qu’une fois par moi, accompagnée de trois gardes du corps, et à condition qu’elle prenne des cours d’auto-défense.

•Après un long caprice de plusieurs semaines, les parents de Miko cédèrent à son désir et la laissèrent s’installer dans sa propre maison, après tout, elle était presque majeure, et personne ne poserait de questions (ils faisaient souvent jouer leurs relations dans le milieu public…). Miko put s’installer dans une formidable villa avec une grande baie vitrée et une jetée privée sur la plage, tout cela assumé financièrement par son père dont les affaires semblaient fleurir de plus belle…

•Comme Susan tenait beaucoup à la culture de sa fille, elle lui fit apprendre les langues suivantes : le français, l’anglais, l’italien, le coréen, le chinois et l’espagnol. Miko ne montra pas de difficultés à apprendre toutes ces langues et s’en servit même couramment dans toutes les situations dans lesquelles elle pouvait montrer l’étendue de son savoir au monde.

•Eiji et Susan on tous les deux toujours éprouvé une sorte de répugnance envers ces étranges animaux qu’étaient les hybrides. Ils les qualifiaient de monstres, de créatures paranormales qui n’avaient pas leur place sur cette planète. C’étaient, pour eux, des erreurs scientifiques qui ne servaient que de bêtes de foires. Pourtant, ou plutôt justement, Miko fut intriguée par ces jolis êtres fantaisistes si étranges, si fascinants… Elle souhaita en acheter un (au moins un), mais ses parents refusèrent catégoriquement : à quoi bon s’encombrer d’une bestiole à nourrir et à habiller ? Il n’en était pas question.
Mais Miko, utilisant son charme habituel, parvint à les faire plier : ils lui achetaient un hybride à condition qu’elle ne s’en lasse pas au bout d’une semaine et qu’elle le tienne loin de son père qui se répugnait à l’idée de vivre sous le même toit qu’une de ces créatures. Miko voyait plus les hybrides comme des esclaves à son service qu’elle pourrait manipuler à son plein gré…