A quoi ça ressemble, la vie ? Moi je peux vous le dire. La vie n’est que souffrance, du début à la fin. Quoi que, la fin est peut être moins douloureux que le début. La preuve est que lorsqu’on né l’on cri, alors que le plus souvent lorsqu’on meurt, c’est en silence. Moi, je ne mourrais pas. Enfin, pas maintenant en tout cas. Et puis tant qu’il y a du sang sous la main, je suis pleine d’énergie, alors…

Je m’appelle Yuki. Kuran, Yuki. Mais je vous autorise à ne m’appeler que Yuki, sinon, c’est trop long. Je vis ici, dans ce cimetière, au moins, je suis sure de ne pas être embêter, aucun de mes locataire ne fait de bruit en ce moment… Si vous me suivez bien. En ce moment, l’envie de prendre souvent de me balader entre les tombes, dans l’espoir de trouver un chat ou un autre animal histoire de boire un peu de sang… Je suis à court de cette denrée qui devient plutôt rare, et cela se voit dans mes yeux...Rouge sang. Lorsque la soif me tiraille, j’ai tendance à devenir des plus mauvaise… Mais je tente tout de même de me contrôler, je ne suis pas un monstre non plus, enfin, presque pas.

Errant entre les tombes, j’espérais vraiment trouver quelque chose à me mettre sous la dent. Je n’avais pas envie d’aller en ville me trouver une proie innocente… Je n’aimais pas prendre le sang des humains, cela ressemblait trop aux pratique de ma famille… Pourtant, le sans des humains me régénère mieux que celui de ces pauvres bêtes, mais bon… Je ne veux pas devenir comme ces monstres de ma famille, alors je me retiens. Un bruit se fait soudain entendre, et je m’arrête. Est-ce qu’il y aurait quelqu’un dans cet endroit ?


Je regardais avec précision autour de moi, dans l’espoir de voir quelque chose bouger, et d’ainsi lui sauter dessus sans la moindre hésitation.

Gola traînait le cadavre du commanditaire par la cravate. Cet être ô combien ignoble, lui avait demander de massacrer une petite fille de 8 ans, de la violé et autre, avant de l'abandonner dans une ruelle. Pour soit disant "intimidé le concurrent." Les lois de la politique gravitait autours de sa tête depuis sa plus tendre (ou pas) enfance. pourtant il n’arrivait toujours pas à les comprendre. Qu'on veuille la mort d'une personne pour des actes qu'il a commis, pour ce venger, l'argent... Cela Gola le comprenait et le cautionnait. Faut aussi préciser que c'est ce qui le fait vivre. Mais alors assassiné une petite fille, pour intimidé quelqu'un pour obtenir le pouvoir, ça Gola ne le comprendrait jamais. Lorsque ce porc lui à annoncer la mission en souriant, en parlant de son salaire d'une air innocent, Gola ne put résister à l'envie irrésistible de lui trancher la gorge. ça faisait maintenant 10 minute qu'il le traînait en direction du cimetière. Lorsqu'il arriva, il se glissa dans une entrée défoncé que des drogués avaient fait la, et que personne n'avait reboucher faute de moyen, et d'envie. Il balança le cadavre dans la fosse commune. Il grimpa ensuite comme un félin sur le rebord, et s’alluma une clope il fuma longtemps, doucement, savourant, son visage sombre s'éclairant à la lueurs des braises.

Il avait bien sur remarqué l'hybride qui devait sans doute être plongées dans de bien sombre pensées, mais cela ne le regardait pas, et de toute façon, il était très bien seul. Il crut qu'elle l'ignorait, jusqu'au moment ou son visage changea d'expression, et elle sentit sa présence, sans le localiser.

"Qui est là ?"

Gola répondit doucement, sans aucune inquiétude, et sans orgueil:

"La mort en personne. Je te dérange?"

Aucune prétention dans la voie. juste un besoin de s'informé, être sur qu'il ne gâche la soirée de personne. Contradictoire, pour un assassin? Il fait tellement de mal , qu'il essaye de faire du bien dès qu'il peut... Aucune crainte non plus. Gola était une machine à tuer. Et à la moindre tentative d'agression, il tuerait. La maîtrise de soit émanait de tout son être, un mélange de grâce et de puissance sauvage. Bien fou celui qui l'attaquerait.

Je cherchais avec tant de bien que de mal la provenance de cette voie. Je levais la tête, la baissait, la tournait de tout les côté, sans pour autant voir d’où cette voie à la fois calme, et assuré, qui venait de s’adresser à moi comme si de rien était. Je finis par voir une lueur, pas très loin de moi, et je m’immobilisais en le fixant, un léger sourire sur mes lèvres maintenant. Se vanter d’être la mort en personne, c’était un cas plus que rare.

Je passais lentement ma langue sur mes lèvres, puis sur mes crocs, sans lâcher du regard cet homme qui avait l’audace de se présenter comme étant la plus grande divinité que je connaisse. Oui parce que dans ma famille, on m’avait appris à respecter la mort, et que s’il fallait lui livrer une de nos proie, se serez avec propreté et loyauté. Je fis une légère courbette. Je savais très bien que cet homme n’était pas la mort, autrement il serait déjà descendu de son perchoir. Ce n’est pas tout les jours que la mort croise sur son chemin un hybride dit « vampire ». Enfin, je crois.


Je souriais toujours. Après tout, si cet homme était un petit joueur, je jouerais volontiers avec lui, et peut être réussirais-je à avoir une petite récompense pour ma soif abondante si j’arrivais à gagner à son jeu…

Gola sourie lorsque la fille le vit enfin. Il était certes très discret mais quand même...


« J’ai toujours… rêvé ! De rencontrer la mort… Vous ne me dérangez donc pas… Je cherchais juste du sang… N’en avez-vous pas en réserve ? »

C'est maintenant chose faite... Du sang...en réserve, tu dis? " Gola sourit. cet ville était une réserve de sang vivante. il n'y avait qu'a se servir. Mais si elle en voulait tout de suite... Il descendit de son perchoir, et alla chercher le cadavre cravaté. Il le prit sur ses épaule, et le tendit à la vampirette.


"C'est du sang de faible, de trouillard et de corrompu. si t'en veux un meilleur, va falloir aller le chercher..."

Gola ralluma tranquillement une clope. La vampirette l’excitait. pas sexuellement parlant, mortellement parlant. Il sorti doucement son sabre, et le posa sur son épaule. Il était largement partant pour une nuit de traque à deux.et les cibles compliquée ne manquait pas. Il se demanda qui tuer pour faire honneur à la fille... un politique retranché dans son appart protéger par gardes et chiens? un Parrain de la mafia local dont il faudra tuer tout les sbires avant de parvenir à lui ? Le directeur général du commissariat ? Les cibles d'un jeu nocturne ne manquait pas. Gola lui donna son nom, et lui fit par de son idée en attendant le réponse.